Avec mon envie de manger mieux, je me suis vite retrouvée face à un problème : l’inspiration…
Je n’ai jamais beaucoup cuisiné, à part le classique « faire chauffer l’eau des pâtes » ou « cuire un steak ». Par contre, je fais de très bonnes salades composées que j’arrive à varier quasi à l’infini.
Sauf que mon bar à salades ne m’est guère utile pour les repas de Ouistiti. Et comme maintenant, il ne veut plus manger que des repas de grands, je ne peux pas me contenter de lui servir toujours la même chose.
Pour sa bonne initiation au goût, je n’ai pas le choix : il faut que J’INNOVE ! Et c’est là que ça se complique, et que je regrette de ne pas avoir eu envie de cuisiner avec ma Maman quand j’étais plus jeune.
Mais, même avec toute la bonne volonté que je peux avoir pour me mettre aux fourneaux, j’ai un autre problème : le temps…
J’ai des livres de cuisine, et je consulte même des sites, mais souvent le temps de préparation n’est pas compatible avec un petit garçon qui me réclame sans cesse.
Il y a quelques semaines, j’ai reçu un livre de recettes qui allait résoudre ces deux problèmes.
J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de Mémoniak, l’année dernière, quand je vous avais présenté l’agenda familial pocket.
Je suis complètement fan de cette collection qui m’aide au quotidien : l’organiseur familial trône toujours dans ma cuisine, et me permet de ne pas perdre la boule avec les différents rendez-vous que je peux avoir pour Ouistiti, comme pour moi.
J’ai donc été ravie de recevoir le « Mémoniak – On fait quoi pour dîner« .
Si vous connaissez l’agenda, le principe est le même : chaque semaine, de septembre 2015 à décembre 2016, se tient sur une double page :
- A gauche, vous trouverez les jours de la semaine avec le titre des recettes suggérées,
- et à droite les différentes étapes pour la réaliser ainsi que la liste détachable des courses.
Au total, ce sont donc 365 recettes qui n’attendent qu’à être piochées pour nous faciliter la vie.
Terminé le « creusage » de tête pour savoir quoi préparer quand je fais mes courses : il me suffit de regarder les menus de la semaine dans laquelle je me trouve, de détacher la liste des courses pour ne rien oublier, et de me laisser guider dans les rayons de mon supermarché ou dans les allées de mon marché.
Bien sûr, je fais en fonction de nos goûts : il y a certaines recettes que je ne suis pas, et que je remplace par une d’un autre jour. Les recettes suivent les saisons, et je peux composer en piochant sur d’autres semaines.
Et comme je suis une petite rebelle, il m’arrive également de faire deux recettes par jour. Le tout étant de ne pas les refaire trop vite, mais c’est tout à fait possible avec toutes les propositions du Mémoniak.
Le temps de préparation est, à chaque fois, très correct : de 5 à 20 minutes. Certaines recettes ne demandent pas de cuisson, d’autres du mijotage. Dans tous les cas, pas besoin de rester des lustres en cuisine !
A la fin de l’agenda, vous trouverez plein de petits bonus comme des recettes de base (sauces, pâte à crêpes, salée, sucrée…), des recettes d’entrées, de dessert, les indispensables à toujours avoir dans ses placards, un tableau de mesure, de cuisson, un calendrier saisonnier des aliments…
Avec l’arrivée des jours gris, et bientôt frisquets, l’envie des plats réconfortants va de plus en plus se faire sentir. Mais je n’aurai aucun problème à en cuisiner, puisqu’il me suffira de suivre pas à pas les recettes qui sont très simples, contrairement à bons nombres de recettes classiques qui peuvent être fastidieuses.
Pas plus tard qu’hier soir, j’ai pu préparer un bœuf carottes pendant que Ouistiti jouait avec sa Mamie (Une recette du mois de mars : je vous ai déjà dit que j’étais une rebelle !): j’ai mis à peine 20 minutes, ce qui n’aurait pas été irréalisable si j’avais été seule avec lui. Une fois que tout était dans ma cocotte, j’ai laissé le tout mijoter 1h30.
On n’a eu qu’à se mettre les pieds sous la table.
Mémoniak pense aussi à accommoder les restes, puisque ce midi, je n’ai eu qu’à faire la recette suivante de l’agenda, et proposer à mon petit gourmand des coquillettes au boeuf.
Comme les recettes sont pour quatre personnes, et que nous ne sommes que deux adultes, j’ai de toute façon de quoi manger sur plusieurs repas. Mais les idées de « recyclage » pour ne pas avoir la même chose dans l’assiette deux repas de suite, sont là aussi hyper malines.
Les recettes tiennent en quelques lignes, et ne demandent pas d’avoir fréquenté l’Institut Paul Bocuse pour les comprendre. Et moi qui ne suis pas habituée à cuisiner, j’avoue être assez fière quand je vois ma petite famille se régaler avec ce que je viens de préparer !
La semaine prochaine m’annonce de la purée de panais, des ravioles gratinées, un velouté de petits pois, une pizza sucrée salée, des oeufs cocotte, du bacon croustillant, et des quenelles (que je remplacerai sûrement par une omelette) : avouez qu’il y a de quoi avoir l’eau à la bouche, non ?
Produit offert
Prix de vente conseillé : 14.90€ (également disponible en version « Recettes Légères »)
J’en suis une grande fan depuis sa première édition et je l’achète chaque année telle ment il me facilite la vie. Le samedi on selectionne nos recettes pour la semaine, on fait les courses en conséquence et le 1er disponible n’a plus qu’à ouvrir le livre.
Les recettes sont simples, variées, originales et pas très onéreuses.
C’est ce qu’on fait aussi 🙂 L’idée que je vais enfin pouvoir faire des plats doudous cet hiver, sans me prendre la tête, les rend encore plus savoureux ^^
Quand j’étais plus jeune ma maman m’a donné un livre de recette : Je cuisine avec Jacqueline… Bref, il me suit toujours et bien qu’il n’y ait pas l’agenda, c’est le même principe.
Je trouve cela pratique et surtout moins prise de tête que certains livres de recettes.
Ca serait bien pratique certains jours.